samedi, décembre 10, 2022

Des monstres au pouvoir


Par Nirodha


Le Mahârâja de Mysore, (1884-1940), sera surnommé par Sarvepalli Radhakrishnan (1888-1975), qui deviendra le second Président de la république Indienne, « le Prince philosophe » comme autrefois Marc Aurelle. Le Mahârâja de Mysore, Sri Krishnarajendra Bahadur IV, comme Marc Aurelle, était pour tous ses sujets riches ou pauvres, quelle que soit leur caste, leur position sociale, un objet de vénération presque sacré. Très attentif à la bonne marche du royaume du Karnataka, ses besoins personnels inexistants, pareil au Roi Janaka, il recherchait la compagnie des penseurs éclairés et des savants de son temps. Sa mort en août 1940 plongera l’état de Mysore dans la consternation. La devise de sa famille Royale était : « Je ne me dois qu’à la Vérité ».

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Depuis la vente de la Banque de France, une sorte d’OPA, par Georges Pompidou pour le bénéfice des Rothschild, des guignols du politique se succéderont jusqu’à notre petite marionnette actuelle, psychotique, capricieuse, infantile et vulgaire.


Notre hypothèse que le néocortex serait une tumeur maligne n’est pas stupide au vu de ce qui apparaît davantage chaque jour depuis décembre 2019 ! Ne voyons-nous pas devant nos yeux grands ouverts des comportements de plus en plus étranges et anormaux ?!

« Quand le désir arrive à un point extrême, arrive la dominance qui peut aller jusqu’à la dictature, dictature des guerriers, dominance des politiques, des religieux, des scientifiques ! Et toujours, guerres, massacres, tortures, meurtres. Le désir sensuel lui aussi peut ne pas connaître de limites : drogues, horreurs sexuelles, viols, tortures, etc. » Bref !

C’est exactement ce qui se dévoile partout en ces moments particuliers et qui fait que ce « deep state » cet « état profond » qui existe depuis des siècles, se rend compte à présent qu’il n’a pas gagné la partie. Un futur le dira. Chacun est concerné et doit pouvoir sortir de ses peurs dans l’instinct de troupeau car il faut tout de même se complaire dans la dénégation pour demeurer encore aveuglé.

Avant de mourir le grand Dr Zelenko à New York dira : « La conscience de chacun sera testée … ». Que chacun se prépare si ce moment de révélation est proche d’arriver.

Quand nous parlons de « monstres au pouvoir » nous parlons de certains politiques qui détiennent le pouvoir et de certains religieux qui exercent le leur, bien curieux, pour dominer leurs ouailles en déformant leurs enseignements des origines. Ce n’est pas un procès d’intention contre les religions mais il est légitime de rappeler que quelques religieux qui ont le pouvoir souillent l’honneur de leurs frères honnêtes, comme le fait l’actuel locataire de Rome. En collusion constante, tous ces compères, depuis la nuit des temps, maintiennent une confusion entre les mots « bien » et « mal », entre les mots « bénéfiques » et « maléfiques », entre les mots « dieu » et « diable », pour garder leurs pouvoirs et ne pas perdre leurs privilèges, en faisant croire aux peuples qu’ils détiennent seuls la seule vérité à laquelle chacun se doit d’obéir aveuglément. De plus, pour certains d’entre eux il n’y a ni bien ni mal ; alors, allons-y jeunesse, surtout jeunesse. Laissez venir à nous les petits enfants.

Qu’est-ce donc que ce pouvoir qui conduit à cette folie ?

Que signifie être un homme de pouvoir, sans aucun contre-pouvoir sur soi ?

Il est donc un très grave malentendu autour du mot « pouvoir » et nous allons essayer de le démystifier et d’en tirer une simple conclusion.

L’ancienne tradition occidentale est complètement perdue, que ce soit celle de la Triade latine : « corpus - anima - Spiritus » ou celle de la Triade grecque : « soma- psukhé – Noüs ». Seule demeure encore en Orient la Triade : « rûpa – nâma – Prajñâ ». Spiritus et Noüs ont disparu et rares sont les religieux qui les comprennent encore profondément. Même en Orient la perte est hélas de plus en plus visible. Y aura–t–il un sursaut ? … par exemple, par la Russie… ?! Il ne s’agit pas d’idéaliser les traditions de l’antiquité car les exactions politiques et religieuses dans les anciennes Traditions existèrent aussi, mais il est dit que les éveillés dans ces Traditions étaient beaucoup plus nombreux qu’à notre époque dite moderne, terme « moderne » qui d’ailleurs n’a aucune signification, de même que les mots progrès et développement durable sont des leurres, termes d’ingénierie politique, sociale et … religieuse dans l’art du vautour à dominer par le harcèlement constant. Chez ces pervers narcissiques, l’absence d’intelligence véritable ne peut conduire qu’à l’auto–destruction et la destruction d’autrui. L’avidité, la haine et l’aberration, caractérisent ces monstres qui en fait savent très bien ce qu’ils font et ce qui est hallucinant c’est qu’ils jouissent de la souffrance qu’ils infligent.

Mais les exemples sont nombreux fort heureusement de politiques et de religieux autrement intelligents. Ils représentent ceux qui se respectent en respectant une éthique, en respectant autrui ; ils enseignent la loi atemporelle, mais ils sont détestés par leurs coreligionnaires qui sont incapables de comprendre.

D’autres, comme Jacques Attali et son dictionnaire farfelu du 21ième siècle, veulent faire disparaître le terme « éthique » du langage en inversant les valeurs universelles.

Il est dit que dans le Kali-Yuga, l’âge de fer, l’âge sombre, l’éthique est devenue si réduite que la souffrance est à son maximum avant dissolution, pralaya. C’est bien ce que nous voyons apparaitre de plus en plus. C’est devenu tellement évident que cela en devient drôle, une manière de dire. Ce ne sont que quelques poignées dans quelques groupes errants, monstres spirituellement morts, qui dirigent la planète. Sachez qu’ils ont à leur botte « car c’est ainsi qu’ils les nomment vraiment », leurs « chiens », leurs « animaux de compagnie » qu’ils considèrent comme des sous-hommes, des morts-vivants ou cadavres utiles ; ceux-ci bien sûr ne savent pas qu’ils sont ainsi considérés et nommés (ne parlons pas pour les peuples (!) car c’est pire). Ils placent donc leurs « animaux de compagnie » à différents postes souvent élevés au national et à l’international, parfois même très élevés comme celui de président d’une république (!) ; et, voici tous ces « dévoués prostitués » à leur chef-en-maître de leur grande secte proxénète, vampirique et bien réelle, un problème planétaire actuel, qui souscrivent à son idéologie, et se sentent ainsi devenus « si importants ! » : banquiers (pas la plus haute finance qui les dirige), universitaires, industriels, médecins, pharmaciens, scientifiques, militaires, media, « policiers-CRS-gardes du corps» qui sont les premiers chiens de garde décérébrés de la meute excitée, dont la volonté a été brisée par les classiques lavages de cerveaux adaptés à leur fonction utilitaire. Il faut bien comprendre les rouages de cette machine infernale bien huilée. Cette compréhension est nécessaire même si elle ne résout pas l’équation. Parmi ces catégories d’esclaves, car ils sont des esclaves « souvent bien rémunérés » qui s’ignorent esclaves, les niveaux de folie vont aussi du moins vers le pire. Il en est parfois de même mais autrement du peuple qui accepte sa « servitude volontaire » pour avoir ses croquettes. Si le donneur d’ordre est ici monstrueux, celui qui exécute les ordres peut aussi le devenir. Pouvoir dire NON est un véritable pouvoir.

La question de la responsabilité individuelle est alors posée ; les conséquences des actes seront de toute façon inéluctables. Le donneur d’ordre fait faire les basses besognes par l’exécutant, pensant ainsi se décharger des conséquences. Mais c’est une erreur stratégique gravissime par ignorance de soi et par ignorance de la loi du karma. Par exemple, un ministre de la santé donne ses ordres et les tireurs d’élite font les injections, mais le ministre champion du mensonge et certains injecteurs savent ce que contiennent les seringues … N’en doutons pas. C’est l’exemple type de la corruption systémique dans la perdition de soi.

Si la psychologie de l’injecté est complexe, la peur est souvent accompagnée d’une forme de lâcheté. Si l’incapacité à réfléchir dépend beaucoup de l’ignorance entretenue par certains dominants politiques et religieux, elle dépend aussi du « vouloir-ignorer » du sujet soidisant ignorant. Le mensonge est-il présent qu’il dépend du subconscient, qui appartient, et c’est irréfutable, à un « ego ». L’intentionnalité de l’acte est le problème. Le « vouloir jouir » à tout prix et sans tenir compte des conséquences conduit toujours l’humain à sa ruine quand sa « purulence des opinions » sert souvent d’alibi à sa propre lâcheté, du genre : « je ne savais pas ! ». Certains tueraient père et mère pour les dépouiller. Les notaires le vivent au moment de la lecture de testaments. Des cris, des vengeances, des menaces éclatent, alors que tout ce petit monde se rencontrait aimablement autour d’une table avec le vivant devenu défunt, maintenant. Ce tableau est hélas souvent vrai. Ah ! la vie ! Laissez-moi rire !

La question posée est donc : « Qu’elle est la part de responsabilité individuelle dans la souffrance, la sienne et celle des autres ? » Difficile question ? Nos comportements sont fortement déterminés par le subconscient qui produit les pulsions d’avidité et les autres pulsions, aussi au dépend d’autrui.

Trois catégories d’humains existent :

1 – L’individu possédé par le désir, la soif, la convoitise sensuelle (le mental étant considéré en Orient comme un sens).

2 – La personne goûtant la jouissance des besoins, le laïc sage obéissant à la partialité positive de l’ordre-désordre des « causa », des choses.

3 – Le Sage, l’éveillé au-delà de l’individu et de la personne … libéré du marasme existentiel.

Le « Règne de la quantité et les signes des temps » comme écrira René Guénon, conduit à l’échec individuel et collectif. Ce règne mobilise l’activité de trois centres dans l’humain d’une façon de plus en plus anarchique à un rythme de plus en plus rapide dans lequel l’espace mental de réflexion devient de plus en plus recroquevillé, mesquin et agité.

L’organisme humain a trois centres :

1 – Le centre intellectuel : la tête avec ses cerveaux et ses réseaux neuronaux et synaptiques qui fabriquent une multitude de possibilités souvent stupides.

2 – Le centre émotionnel : le cœur psychologique, (le chakra Anâhata du Yoga), impacté par le « subconscient », le « conscient », cœur rendu ensuite équilibré et serein par le « Sur– conscient ».

3 – Le centre instinctif, le ventre.

Cet humain est déterminé par trois niveaux d’information issus des :

« Subconscient », « conscient » et « Sur–conscient », ce dernier terme étant inconnu même des psys en tout genre ! qui d’ailleurs ne se connaissent eux-mêmes que rarement. Ce « Sur–conscient » correspond, nous l’avons dit, dans les 3 Traditions à Spiritus, Noüs, Prajñâ.

L’Occident est devenu délirant, et l’Orient est aussi bien contaminé mais pas complètement. Tout y est fondé sur l’assouvissement démesuré des instincts, aussi nommé « épanouissement sexuel ! », accrédité par une idéologie tordue et véhiculée par ses psychopathes. Ce pseudo-scientifique Noval Noah Harrari veut de plus purger la planète des inutiles. C’est lui l’inutile et il le saura bientôt. Le centre intellectuel est aussi devenu fou et BHL en est l’exemple parfait. Il nous faut bien prendre quelques exemples vérifiés. Ne parlons pas davantage du centre émotionnel … c’est là une autre catastrophe, étymologiquement : « bouleversement ». L’expression « être bouleversé » est juste.

Chacun ayant maintenant fait sa synthèse des mensonges et corruptions constatés depuis ces trois années passées, espérons-le, voici trois mots-clés ici nommés : Respect : la prise de conscience de soi est une pratique normale et salutaire : (Via Purgativa). Rappel de soi : aussi vigilance juste.

Responsabilité : savoir assumer ses erreurs sans s’y identifier n’y opérer quelques surimpositions, en tenir compte pour en éviter d’autres. Savoir dire non.

Conclusion :

Vivre uniquement pour soi en oubliant systématiquement les autres, sans jamais considérer autrui en profitant constamment des autres, est devenu un sport politique comme la pratique d’un faux mantra pour imbéciles. Ce n’est pas du tout dans l’ordre naturel des choses mais vers celui non-naturel où l’oligarchie veut nous conduire.

Maintenant que chacun a compris les 3 arnaques : Covid, Climat, fausse pénurie d’énergie, nous terminerons non pas en enfonçant des portes ouvertes mais par trois évidences préférentielles : Si la notion de repentance reste un terme religieux, elle se rapporte au vrai respect de soi. Aimer, tout simplement et il ne s’agit jamais de haïr mais d’agir en conséquence. Reconnaître ses erreurs est acte d’intelligence et savoir le dire aussi.

Quant au futur proche, restons calmes, réfléchis, composés, confiants. Vigilants, ne baissons pas la garde et l’action juste nous sera dictée en temps utile par l’intelligence suprême. La position « debout » est citoyenne, la position « couchée » est asservie.

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« Quand je vois que je ne suis rien, c’est l’Intuition métaphysique. Quand je vois que je suis tout, c’est l’amour. Et au milieu ma vie s’écoule ». Nisargadatta Maharaj à Bombay.


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